FLOK (séance scolaire)

Atten­tion, musique fraîche !

Cachés dans une immense toile sans fond, huit musi­ciens le guettent, lui, le soli­taire aux pin­ceaux, le peintre en quête d’inspiration. Ils se moquent, se jouent d’abord de lui, silen­cieu­se­ment, et puis, le jeu devient ren­contre, une ren­contre entre deux mondes, deux modes d’expression : la pein­ture et la musique. Les cuivres explosent, les per­cus­sions éclatent, entraî­nant la main du peintre dans des mou­ve­ments fré­né­tiques où le bleu, le rouge et le jaune se mêlent et s’entrelacent. Est-ce la musique qui dirige le pin­ceau ou le pin­ceau qui mène la danse ? Chaque nou­veau tableau est l’esquisse d’un dia­logue entre deux arts, le lieu d’émotions à la fois visuelles et sonores. La ren­contre rede­vient jeu lorsque les six toiles s’animent, se fau­filent entre les mains des uns et le pin­ceau d’un autre, le temps d’une danse impromp­tue, pour rejoindre cet immense cadre vide. Alors, sous les yeux de ceux qui s’étaient lais­sé prendre au jeu, les œuvres s’assemblent pour for­mer une seule et unique créa­tion, éton­nante et poé­tique sym­biose entre le son et la cou­leur.

Atten­tion, musique fraîche !

Cachés dans une immense toile sans fond, huit musi­ciens le guettent, lui, le soli­taire aux pin­ceaux, le peintre en quête d’inspiration. Ils se moquent, se jouent d’abord de lui, silen­cieu­se­ment, et puis, le jeu devient ren­contre, une ren­contre entre deux mondes, deux modes d’expression : la pein­ture et la musique. Les cuivres explosent, les per­cus­sions éclatent, entraî­nant la main du peintre dans des mou­ve­ments fré­né­tiques où le bleu, le rouge et le jaune se mêlent et s’entrelacent. Est-ce la musique qui dirige le pin­ceau ou le pin­ceau qui mène la danse ? Chaque nou­veau tableau est l’esquisse d’un dia­logue entre deux arts, le lieu d’émotions à la fois visuelles et sonores. La ren­contre rede­vient jeu lorsque les six toiles s’animent, se fau­filent entre les mains des uns et le pin­ceau d’un autre, le temps d’une danse impromp­tue, pour rejoindre cet immense cadre vide. Alors, sous les yeux de ceux qui s’étaient lais­sé prendre au jeu, les œuvres s’assemblent pour for­mer une seule et unique créa­tion, éton­nante et poé­tique sym­biose entre le son et la cou­leur.